Compagnie Les Hommes Sensibles
C'est un bout d’enfant qui est resté coincé dans un adulte et qui s’est accroché à une douce rage de vivre. L’adulte oublie souvent l’enfant qu’il était, l’enfant qui est en lui. Que reste-t-il de cet enfant ? Du jeu ? Du simple ? Des monstres sous le lit ? De la nostalgie et des rêves ? ... L’émerveillement.
Tout cela enfoui dans une malle en bois, sous le sable d’une plage abandonnée d’une mer polluée. Cette mer accueille notre voyage simple et direct dans notre imaginaire, dans nos émotions et nos sens, nos corps sont l’eau qui la compose. Sur cette plage abandonnée, subsistent l’enfance, le jeu, la joie, la solitude et la mort. L’imaginaire né du manque… sa nécessité.
Dès 5 ans - Réservation obligatoire
un bout d’enfant qui est resté coincé dans un adulte et qui s’est accroché à une douce rage de vivre. L’adulte oublie souvent l’enfant qu’il était, l’enfant qui est en lui. Que reste-t-il de cet enfant ? Du jeu ? Du simple ? Des monstres sous le lit ? De la nostalgie et des rêves ? ... L’émerveillement.
Tout cela enfoui dans une malle en bois, sous le sable d’une plage abandonnée d’une mer polluée. Cette mer accueille notre voyage simple et direct dans notre imaginaire, dans nos émotions et nos sens, nos corps sont l’eau qui la compose. Sur cette plage abandonnée, subsistent l’enfance, le jeu, la joie, la solitude et la mort. L’imaginaire né du manque… sa nécessité.un bout d’enfant qui est resté coincé dans un adulte et qui s’est accroché à une douce rage de vivre. L’adulte oublie souvent l’enfant qu’il était, l’enfant qui est en lui. Que reste-t-il de cet enfant ? Du jeu ? Du simple ? Des monstres sous le lit ? De la nostalgie et des rêves ? ... L’émerveillement.
Tout cela enfoui dans une malle en bois, sous le sable d’une plage abandonnée d’une mer polluée. Cette mer accueille notre voyage simple et direct dans notre imaginaire, dans nos émotions et nos sens, nos corps sont l’eau qui la compose. Sur cette plage abandonnée, subsistent l’enfance, le jeu, la joie, la solitude et la mort. L’imaginaire né du manque… sa nécessité.